2. Die Schonung wenigstens von Katholiken von Angora und Adana, deren Treue und ruhiger Haltung seit Jahrhunderten wohl bekannt ist.
3. Im Namen des Gottes und aller christlichen Mütter und Kinder flehen wir die Einstellung der Verfolgung und Deportation armenischer Frauen und Kinder ohne Confessionsunterschied.
4. Eine Gruppe von Deportierten kath. Armenier befindet sich heute in Eskischehir und die hat den Order bekommen, nach 48 Stunden die Stadt zu verlassen. Heute Abend wird diese Zeit abgelaufen. Also wir bitten flehentlich vor heute Abend ein Telegramm nach Eskischehir zu schicken und den Befehl zu erteilen, dass diese unglücklichen entweder heimkehren oder wenigstens in Eskischehir bleiben dürfen.
[Eingabe des katholisch-armenischen Patriarchen]
Combien une telle assertion soit injuste, est prouvé par le fait que les catholiques de ces localités ont dû subir de grandes persécutions de la part des arméniens grégoriens eux-mêmes, et leur aversion a toujours été telle que les catholiques n'ont jamais voulu faire usage de la langue arménienne. De fait ces catholiques ne parlent jusqu'ici que la langue turque, qu'ils considèrent comme leur langue maternelle et propre aux catholiques. L'histoire de l'émancipation de la Communauté catholique est bien connue au Gouvernement Impérial, pour ne pas ignorer combien les catholiques ont fait pour se tenir séparés, distincts et éloignés des arméniens grégoriens pour ne pas tomber dans cet aveugle nationalisme qui formait la religion de ceux-ci et animait leurs institutions. Les catholiques n'ont en vue et n'ont eu que leur religion, laquelle tout en les écartant et les tenant loin de vues nationalistes, les oblige en même temps à être et à se maintenir toujours des sujet fidèles du Gouvernement dont ils dépendent.
Tels sont particulièrement les catholiques des localités frappés par ce contre-ordre et l'Autorité ecclésiastique est prête à donner toute garanti pour rejeter tout soupçon sur la fidélité loyale et inébranblable des catholiques au Gouvernement Impérial.
[Notiz Neurath 23. 8.]
[Aufzeichnung Mordtmann 23. 8.]
Aziz bej, den ich hierauf aufsuchte, um ihm die Sache wegen Eskischehir dringend zu machen, bezweifelte sehr, daß der Minister die gewünschten Ordres geben würde.